Bonjour
Étonnement, agacement, voire plus
Finalement, vivre l'envahissement d'un domaine par la pub dans sa vie "privée" permet de se rendre un peu compte de ce que vivent les autres à un endroit où l'on "travaille", on se rend compte que les "limites" soit disant justifiées du coût ne sont finalement pas vraiment respectées puisque même en payant elle est là, il y a un "glissement" au fil du temps.
Les confiseurs (sic) expliquent que le doublement du prix du chocolat en bourse (soit disant pour payer les producteurs aux champs) ne leur ont pas permis en réalité de vivre correctement, les mécanismes mondiaux économiques ne tiennent pas compte de ces "valeurs". Mais que finalement ça n'a pas influencé leur propre niveau de vie le niveau de ventes n'a pas changé, car la fève ne représente que 7.5% du prix de revient du produit fini alors que la très grande majorité de leur prix de revient est constitué uniquement par le coût de la publicité (produits, marques, événementiel et relationnel), qui génère à côté une "activité distincte".
(on aurait pu parler du prix du baril et celui à la pompe, y compris pour les paysans gazoil détaxé ou les avions)
Ces 2 exemples semblent indiquer une évolution:
Il y aurait donc un vrai bouleversement, la vie "économique" ne reposerait plus sur les "nécessités" vitales des sociétés humaines, ou n'est plus connectée vraiment à la finance.
Est-elle ou sont elles toujours en capacité de les protéger ces sociétés humaines, ce que l'on supposait?
On voit de temps en temps comment une "bulle" financière peut perturber l'équilibre de l'ensemble.
C'est une question qui a été proposée, non une affirmation.
Peut-on aller jusque là en partant de la question d'origine.
